Le développement personnel sans tabou
L’art subtil de s’en fouter résumé
L’art subtil de s’en fouter résumé

L’art subtil de s’en fouter résumé

Bonjour à tous, comme vous l’avez vu dans le titre, je vais vous résumer le livre de Mark Manson: L’art subtil de s’en fouter résumé.

Note : le titre est légèrement modifier pour le référencement.

L'art subtil de s'en fouter résumé

 

L’art subtil de s’en fouter résumé.

Cette nouvelle année, je me lance dans un nouveau concept « Résumé des livres ».

Aujourd’hui, je vais vous résumez un des bestsellers de Mark Manson « L’art subtil de s’en foutre ». La première question qu’on peut se poser est « Qu’est-ce que ce livre a de spécial » ?

Personnellement, ce qui m’a intrigué en premier, c’est la première phrase « Un livre de développement personnel, pour ceux qui détestent le développement personnel ».

Moi qui suis dans le développement personnel, ce livre a éveiller ma curiosité.

Je l’ai lu et ce livre est rempli de bon sens, de conseils pertinents et de prise de conscience.

C’est pour cela que je vais vous résumer tous les chapitres.

 

L’art subtil de s’en fouter résumé. Chapitre 1. Don’t try .

Dans ce premier chapitre, l’auteur nous explique que vouloir toujours chercher le positive ne cherche en réalité qu’as nous focaliser sur ce qui nous manque.

Il prend pour exemple que se répéter 50 fois devant un miroir « Je suis heureux . C’est ridicule.

Une personne réellement heureuse n’a pas besoin de le répéter. Elle l’est.

Je le rejoins totalement. Car si vous êtes bien dans votre corps, votre tête, est-ce que vous avez besoin de vous le répéter sans arrêt ? Non. Vous l’êtes oui ou non.

Pour moi, se répéter ces phrases pour aller mieux : c’est comme si on s’était pris une balle et que pour la soigner on passait de la pommade.

Je trouve que c’est ridicule de penser de la sorte.

L’art subtil de s’en fouter résumé : Il critique notre société de surconsommation .

Que le fait de posséder trop de choses et de rendre notre monde « parfait », nous rend accros au superficiel et au factice.

Il prend, pour exemple, les réseaux sociaux.

Les réseaux sociaux, c’est : regarde, j’ai une meilleure vie que toi.

Les conséquences de ces agissements sont que pour la grande majorité des gens, il ne faut surtout pas montrer, notre anxiété, la peur ou la culpabilité.

En clair, que tout le monde veut faire croire que tout va bien dans sa vie.

Alors, qu’on sait très bien que c’est faux.

Nous avons tous plus ou moins des problèmes.

D’ailleurs, les seules personnes qui n’en ont pas sont aux cimetières.

L’art subtil de s’en fouter résumé : notre vision des expériences négatives.

Il cite que le fait de vouloir des expériences positives devient en soi une expérience négative. Et que l’inverse est également valable. Ce qui est complètement paradoxal.

Mais pourquoi c’est comme ça ?

Plus tu cherches à te sentir mieux, moins tu te sens bien .

La raison est simple . Le fait de vouloir obtenir quelque chose ne fait que renforcer ton sentiment de manque.

En clair, plus tu désires quelque chose, moins tu éprouves de satisfaction.

Car le fait de désirer plus nous amène forcément à ne jamais nous contenter de ce qu’on a déjà.

Ce concept est valable pour tout, nos relations sociales, l’argent, etc.

L’art subtil de s’en fouter résumé : Il met l’accent sur ce qu’il faut réellement accorder de l’importance.

Dans la vie, il y a des choses importantes « santé, argent, famille, amis » et d’autres qui n’ont pas de grande conséquence « regard des autres, ragots ».

Il faut donc se focaliser sur ce qui nous apporte concrètement et pas sur des choses sans importance.

L’un des premiers signes d’une personne mature, c’est de se concentrer sur ce qui est réellement important.

C’est en soi un signe d’intelligence.

Ce qu’il faut faire c’est se focaliser « à vos yeux » de ce qui compte pour vous et ce qu’il y a de mieux pour votre temps et votre énergie.

La vie est trop courte à galérer pour des choses futiles et sans grands intérêts.

Cette philosophie de vie a pour but de vous faciliter la vie et ça suffit.

Vous pourrez constater que le fait de se simplifier la vie nous rend VRAIMENT HEUREUX.

Pour conclure.

J’ai essayé de vous résumer au mieux le premier chapitre.

Je pense avoir dit l’essentiel en tout cas. Cette façon d’écrire est nouvelle pour moi.

J’espère que vous aurez compris ce que l’auteur à voulut vous transmettre.

 

L’art subtil de s’en fouter résumé : Chapitre 2.

Le bonheur est un problème. L’auteur nous met en évidence que « le bonheur en soi est un problème ».

Ce qui peut sembler paradoxal.

Depuis tout petit, on nous dit qu’il faut être heureux, que c’est ça le but de la vie. Mais est-ce vraiment le cas ? Est-ce que nous devons réellement éviter la souffrance ?

L’histoire d’un jeune homme.

Il y a un peu près 2500 ans au Népal où vivait un jeune prince.

Son père souhaitait que son fils ait une vie « parfaite » sans aucune souffrance. Pour cela, le souverain met les grands moyens.

Il fit ériger de grands murs autour du palais, pour que le prince ne voie pas la misère de son peuple.
Il lui offrit absolument tout ce qu’il désirait, le moindre de ses caprices était exaucé. Ce fut efficace, le jeune prince ignorait la souffrance.

Malgré tout le luxe et le confort qu’il avait, le prince en avait marre. Rien n’avait plus de saveur pour lui.
Alors, une nuit, le prince sortit furtivement du palais afin d’explorer le monde extérieur.

Le jeune prince fut ébahi de ce qu’il voyait « malade, sans abris, etc.. ». Ce fut pour lui une vraie révélation.

Après avoir digéré ce qu’il venait de voir, le prince décide de partir pour toujours et de renoncer à son titre de souverain.

Pendant plusieurs années, le jeune prince vivait dans des conditions déplorables. Ses journées lui causaient de nombreuses souffrances, « la faim, la solitude, les douleurs ».

Tout ceci avait pour but de lui dévoiler le mystère de ce monde, le but ultime.

Malheureusement, il ne trouva pas de réponse concrète.

Il en conclut que : que souffrir c’est moche, et que cela n’avais pas forcément de sens.

Ne sachant plus trop où il en était, il s’assit près d’un arbre au bord d’une rivière. Il décide de ne pas bouger de là tant qu’il n’aura pas une révélation.

La légende raconte qu’il y est resté 49 jours et qu’il prenait conscience que la vie entière est une souffrance.

Sa conclusion.

— Les riches souffrent de leurs richesses.

— Les pauvres de leurs pauvretés.

— Les personnes sans famille souffrent de ne pas en avoir.

— Les personnes qui en souffrent à cause d’elles.

En résumé, l’humain est toujours insatisfait et le sentiment de mal-être fait partie intégrante de la vie humaine.

Cet homme était Bouddha.

L’art subtil de s’en fouter résumé : Quel est finalement le rôle de cette souffrance ?

La souffrance a avant tout un rôle biologique.

Ces états nous poussent à innover et survivre. Ce qui explique par la même occasion pourquoi nous ne sommes jamais satisfaits de ce que nous possédons déjà.

Ces éléments qui ont poussé notre espèce à sans cesse se battre.

Pour illustrer ceci, on va prendre un exemple.

Quand nous commençons la musculation, on doit fournir de nombreuses souffrances afin d’atteindre notre but. Que ça soit « l’entrainement, la diète, la récupération ». Tout ceci est une forme de souffrance, mais en fin de compte ça en vaut le coup pour « une meilleure estime de soi, meilleure santé, etc. »

La morale de tout ça, c’est que la souffrance ne doit pas nécessairement être évitée, car la douleur contribue d’une certaine façon au bien-être.

Dans la suite, il mentionne le fait que résoudre ses problèmes nous rend heureux. Quelle est la raison à ça ?

La contribution au bonheur est que lorsque nous avons un problème, il faut le résoudre. Le bonheur est une forme d’action, une activité.

Le problème avec la majorité des gens, c’est que pour eux la vie n’est pas simple et qu’ils ne font pas les choses de manières optimales.

Il y a 2 principales raisons à cela.

La première est le déni.

La majorité nie avoir des problèmes. Ce qui va faire qu’ils vont se faire des films, ou se distraire pour oublier.

La deuxième est la mentalité de la victime. Ces personnes-là ne vont jamais voir la réalité en face et toujours rejeter la faute sur les autres.

Au lieu d’assumer pleinement leurs responsabilités.

Ces personnes se comportent de la sorte, car c’est plus simple et confortable de procéder ainsi. 

L’art subtil de s’en fouter résumé: Quel est le but finalement de nos émotions ?

Cela nous aide à mieux vivre et à mieux nous reproduire. C’est tout.

Autrement dit, les émotions fonctionnent comme des signaux biologiques pour nous mettre sur un changement durable.

Quand nous vivons une émotion négative, c’est un appel à l’action. Quand nous les éprouvons, c’est pour faire quelque chose.

Comme je l’ai mentionnée un peu plus haut, les problèmes, nous devons les affronter.

Si l’on ne le fait pas, nos émotions nous feront comprendre le contraire.

À contrario, les émotions positives te récompensent d’avoir agi.

Il met aussi en évidence que : tout ce qui fait que tu te sentes bien à un moment te fera te sentir mal à coup sûr.

Ce que l’on gagne est aussi ce que l’on perd.

Que tes expériences négatives sont la meilleure façon d’accumuler de l’expérience !

Pour conclure.

Il faut prendre conscience que la vie est un combat perpétuel.

Et qu’il faut se poser une question. « Quelle souffrance peux-tu endurer ? »

Alors, vous devez choisir vos combats et non les subir.

Prenez conscience également que sans effort, aucune récompense. Ne tombez pas dans la petite gratification instantanée.

N’oubliez pas de choisir vos combats.

Ne fuyez pas vos responsabilités et soyez capable de résoudre vos problèmes.

L’art subtil de s’en fouter résumé: Chapitre 3. Tu n’as rien d’extraordinaire, tu sais.

Il commence à nous raconter l’histoire d’un jeune homme qui se croyait génial dans tout ce qu’il entreprend.

Que tout ce qu’il faisait était absolument grandiose et que c’était tout simplement un génie. Il tournait tout à son avantage sans nier l’évidence de son manque de connaissance.

Bref, pour lui, il était tout juste phénoménal et que c’était tout simplement la faute des autres si on ne le reconnaissait pas à sa juste valeur.

La réalité d’être spécial.

Ce mode de pensée est très répandu chez les humains.

On appelle ça : l’effet Dunning Kruger . Ce qui signifie que l’on a surévalué nos compétences réelles.

On croit qu’on est véritable expert dans un domaine, alors que nous sommes loin de la réalité.

 

La réalité est que peu de gens sont des experts dans un domaine précis. Nous sommes pour la grande majorité d’entre nous débutant, ou, tout juste moyen. Nous sommes dans une société qui veut nous faire croire que tout le monde est très bon. Alors, que c’est seulement une élite.

Les personnes qui ont lu cet article ont aussi lu :  La solitude

Regardez la réalité en face, les personnes qui sont réellement compétentes dans leurs domaines.

Regarder les athlètes de haut niveau pour vous en rendre compte. En France, il y a plusieurs millions d’inscrits en club. Pourtant, combien sont professionnelles ? Quelques centaines, tout au plus.

D’où ça provient ?

Selon l’auteur, ce mode de pensée viendrait des USA dans les années 60.

À cette époque, les psys ne parlaient que du développement de l’estime de soi et de pensées positives.

Les études avaient montré que : les gens qui avaient une haute estime d’eux-mêmes réussissaient mieux dans leurs vies.

Ce qui avait pour but de : diminuer la criminalité, créer de l’emploi, motiver les élèves à faire des études, etc.

Le résultat de ça, c’est que tout a été surévalué.

Les mauvaises élèves voyaient leurs notes gonflées, afin qu’il n’est pas honte de leurs notes. Des récompenses étaient décernées aux derniers du style « Merci d’avoir participé ».

La conséquence

C’est qu’il faut se rendre à l’évidence d’une chose : tout le monde n’est pas exceptionnel.

Si nous avons une bonne image de nous-mêmes, ne veux rien dire s’il n’y a pas une bonne raison à ça. Notre espèce s’est développée au fil du temps, dans l’adversité et les échecs, certainement pas dans le monde des Bisounours.

Vous n’avez qu’à voir tout ce que l’humanité a construit pour vous en rendre compte.

C’est bien dans l’adversité et l’échec, que l’on fabrique des adultes à la détermination farouche, capables de mener à bien ce qu’ils entreprennent.

La vérité sur l’estime de soi, c’est d’apprécier les aspects négatifs que nous possédons. Sinon, comment son image positive de nous-mêmes pourrait est estimé « réellement » de manière fiable ?

Le problème avec ces personnes qui pensent tout savoir, c’est qui se la pètent en permanences, et même au détriment de leurs entourages.

Ils ont besoin d’avoir une image d’eux hyper net et finissent à ne penser qu’à leurs petites personnes. Il faut voir la réalité en face, peu de gens acceptent d’être médiocres et de ne pas savoir. Cela demande un certain courage de se dire « j’accepte la critique » ou alors « je ne sais pas ».

La solution

Pour corriger, ceci est à la fois simple et compliqué.

Il faut être capable d’analyser concrètement et d’être le plus lucide possible, nos points forts et faibles.

Vous voyez, c’est assez simple comme conseil.

En revanche, pour la mise en pratique, c’est assez compliqué.

Il faut faire ce travail-là sur nous-mêmes, sinon la réalité nous rattrapera forcément un jour et ça peut nous faire très mal.

L’art subtil de s’en fouter résumé : Quand les problèmes sont présents.

Dans la vie, nous avons tous des problèmes plus ou moins gros.

Selon notre vécu et nos diverses expériences. Nous allons réagir de plusieurs façons.

Quand nous subissons une souffrance intense et que l’on n’arrive pas à la contrôler.

Nous allons soit :

— Nous apitoyer sur notre sort et accuser les autres de nos problèmes.

— Je suis nul et tout le monde est génial.

Dans les 2 cas, vous vous comportez comme une victime.

La réalité est que :

Peu importe ton problème, il n’est pas personnel.

Dis-toi que des millions de personnes à travers le monde l’ont déjà eu.

Ta copine t’a largué .Ta copine ta trompé avec un autre. Ta perdue ton boulot. Tu as perdu un proche. Tu es tout seul.

Bref, ce genre d’évènement pas agréable qui peut arriver.

Vous pensez être les seules à vivre ça ? Bien sûr que non.

C’est juste que peu de gens le montrent.

Car la majorité d’entre nous n’aiment pas trainer avec des gens qui se plaignent de leurs problèmes. À part les proches.

Bien entendu que dit comme ça, c’est simple.

Que lorsque nous subissons ce genre de problèmes, nous sommes déboussolées et perturbées !

Ce qui est totalement normal.

C’est important pour moi de vous parler de ça, car, lorsqu’un problème grave nous arrive, on se dit qu’on s’avère les seuls à souffrir. Quelque part, cette réflexion est une manière de vous dire que vous n’êtes pas seuls à la vivre et ça nous rassure de le savoir.

Pour conclure.

Il faut développer notre faculté à être le plus lucide possible, afin d’être le plus ancré dans la réalité. Vous pouvez bien entendu devenir un véritable expert dans ce que vous souhaitez. Il faut juste que vous preniez conscience que cela prendra probablement plusieurs années.

Vous voyez toujours le résultat de ceux qui sont déjà au sommet.

Dorénavant, regardez le chemin parcouru. Cela vous aidera grandement à être le plus lucide possible.

Dites-vous que :

Peu importe vos problèmes, des millions de personnes le vivent actuellement. Même si j’ai parfaitement conscience que quand vous y êtes confronté, vous n’êtes pas forcément bien . Ce que je comprends parfaitement et vous avez le droit de vous sentir mal !

En revanche, il est de votre responsabilité de vous en sortir. Peu importe la façon de procéder ou le temps que ça met, confrontez-vous à vos problèmes.

 

L’art subtil de s’en fouter résumé : Chapitre 4. Le rôle de la souffrance ?

Une petite histoire.

Nous sommes en 1944, sur la petite ile de Lubang, dans l’archipel des Philippines.

Le second lieutenant Hiroo Onoda débarque avec ses hommes, avec pour objectif : Ralentir au maximum la progression de l’ennemi et ne jamais se rendre à l’ennemie.

En février 1945, les Américains prirent possession de l’ile. En seulement quelques jours, la plupart des soldats japonais, c’était soit rendu, soit ils ont été tués. Onoda et 3 de ses hommes, parviennent à s’enfuir et sans perdre de vue leur but.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les armées américaines et japonaises déversent des milliers de prospectus, afin de prévenir que la guerre était finie. Mais Onoda et ses hommes pensent que c’est un piège des Américains, pour les déloger.

Les années passent et tout le monde était revenu à sa vie d’avant.

Sauf Onoda et ses compagnons qui continuaient à tirer sur les paysans, à semer le désordre.

Le gouvernement philippin décida de lancer des flyers leur signifiant que la guerre était finie. Mais il pensait encore une fois que c’était un piège.

En 1952, le gouvernement japonais décide de faire pleuvoir des lettres et des photos de leurs familles respectives. Encore une fois, ce fut encore un échec cuisant.

Plusieurs années après, un des compagnons de Onoda se rend et l’autre fut tué par la police locale. Onoda continue donc seul sa mission.

En 1952, un jeune aventurier japonais décide de partir à la rencontre de Onoda. Il le trouve au bout de quelques jours. Le jeune homme lui demande alors : pourquoi depuis presque 30 ans il ne se rend pas ? Onoda lui répond : J’ai reçu l’ordre de ne jamais me rendre et qu’il s’y était conformé. C’est aussi simple que ça.

La conclusion d’Onoda.

Cependant, malgré le manque de nourriture, les intempéries puis la solitude, Onoda dit n’avoir aucun regret. Il affirme que ça a été un honneur de mettre sa vie en jeu pour un empire qu’il n’existait plus. En 1974, son supérieur, qui lui avait donné cet ordre, se déplace pour lui demander d’arrêter ce combat. Onoda s’arrêta enfin.

Onoda passe le reste de sa vie, encore plus déprimé que lorsqu’il était dans la jungle. Ça peut sembler fou et pourtant, c’est la réalité. Même s’il souffrait dans la jungle, sa souffrance avait un sens. Alors que chez lui, c’est une autre forme de souffrance qui n’a pas de sens.

Ce qu’il faut retenir.

Malgré l’enfer qu’il a vécu ? Onoda était ravi.

Car pour lui, sa souffrance signifiait quelque chose à ses yeux.

Étant donné que ça avait un sens, il pouvait plus facilement l’encaisser.

Tout le monde à sa dose de souffrance, c’est inévitable. Votre souffrance doit avoir un sens pour vous, afin de vous permettre de l’encaisser.

Alors, ne vous dites plus : comment j’arrête de souffrir ? Mais plutôt « Pourquoi je souffre ? Pour quelle cause ? Dans quel but ? »

L’art subtil de s’en fouter résumé : Les mauvaises valeurs.

Pour la suite, l’auteur mentionne quelques traits de personnalité qu’il faut éviter.

Le plaisir.

En soi le plaisir, c’est sympa. Cependant, il ne faut pas en faire un but de vie. Vous pouvez demander à un toxico, un alcoolique, la malbouffe ou ça l’est à mener ?

D’ailleurs, certaines études prouvent que les personnes au petit plaisir sont plus anxieuses, et plus instables émotionnellement.

Bref, ça ne leur rend pas service.

Il faut juste ne pas abuser de certaines choses. Tout est question d’équilibre.

La réussite matérielle.

De nombreuses personnes mesurent la valeur d’une personne par rapport de l’argent qu’il gagne.

Des recherches montrent qu’à partir du moment que les besoins primaires sont comblés (toit, nourriture, etc.) le bonheur est quasiment le même que si on avait beaucoup de bien matériel.

Le problème avec les personnes qui accordent trop d’importance aux matériels. C’est qu’ils vont faire passer d’autres valeurs aux seconds plans « empathie, générosité, non-violence, etc ».

Alors, prenez conscience sur ce qui est réellement important.

Avoir toujours raison.

Beaucoup trop de personnes pensent que ceux qui disent sont la vérité absolue. Ainsi,tout le monde est d’accord pour dire que personnes n’est parfait. Pour ces personnes, c’est différent. Ce genre de comportement va entrainer une frustration pour son entourage. Quand on pense tout savoir, on va refuser d’admettre que l’on a tort.

Donc, nous devenons une personne fermée d’esprit et qui pensent tous savoir.

Il faut partir du constat que : nous ne savons presque rien. Et que ce sont les échanges d’idée et d’opinion qui nous enrichissent mutuellement.

Rester positive quoi qu’il arrive.

Vouloir se faire croire que tout va bien dans nos vies en permanence, c’est se jeter de la poudre aux yeux.

Des fois, la vie est nulle et il faut faire avec et l’accepter.

Dans ces moments-là, il faut :

— Exprimez ses émotions négatives de façon saine et acceptable.

— Les exprimer selon nos valeurs.

La conséquence de ne pas vouloir les exprimer est que :

Si on nie l’existence de nos problèmes, on ne va pas les résoudre.

Les résoudre donne un certain sens à nos vies.

Alors, acceptez vos problèmes et faites en sorte de les résoudre de la meilleure des manières.

Quelles sont les bonnes valeurs à adopter ?
Être honnête.

L’honnêteté est sans doute l’une des meilleures valeurs à posséder. Car on peut la contrôler, qui reflète la réalité et qui profite aux autres (même si elle ne fait pas toujours plaisir) de plus, vous pourrez toujours être vous-même et c’est génial. Vous n’aurez pas besoin de jouer un rôle en permanence.

Les autres valeurs (liste non exhaustive) :

Le courage, l’entraide, le partage, l’humilité, la charité, la curiosité, le respect.

Des mauvaises valeurs à adopter :

La domination, le manque de respect, la haine, violence, radin, malhonnête.

Les personnes qui ont lu cet article ont aussi lu :  Article intelligence artificielle: lesquels tu dois utiliser

Pour conclure.

Bien entendu, je n’ai pas tout dit.

Je vous ai apporté les éléments qui me semblent les plus intéressants.

Vous devez choisir les souffrances et les bonnes valeurs qui vous serviront. Selon vos valeurs et vos croyances.

 

L’art subtil de s’en fouter résumé : Chapitre 5. Tu fais tout le temps des choix.

Je vais commencer par une petite mise en situation.

Vous avez un pistolet chargé sur votre tempe et on vous ordonne de parcourir 42 km en moins de 5 h. Sinon, il vous tue et votre famille. Nous sommes d’accord, c’est juste horrible.

Maintenant, imaginez-vous avec la meilleure tenue possible, un entrainement régulier pendant des mois, et que vous finissez le marathon sur les yeux ébahit de votre famille et de vos proches.

Quel sentiment serait présent ? Sans aucun doute, de la joie et une grande fierté.

Pourtant, dans les 2 cas, vous avez les mêmes sensations. Vous avez mal aux jambes et vous êtes épuisé.

La différence entre ces 2 situations, vous l’aurez compris, l’une est imposée et l’autre c’est de votre propre volonté.

Ce qu’il faut retenir.

Lorsqu’on vous ordonne quelque chose que vous avez envie de faire, vous allez vous comporter comme une victime . Même si c’est bon pour vous.

En revanche, si vous le faites de vous-même, ça ne sera pas une torture pour vous. Même si c’est difficile.

On en revient au chapitre précédent, vous choisissez vos problèmes et donc vos souffrances.

Pour vous donner un exemple, je vais vous prendre mon cas personnel.

Je pratique la musculation depuis 5 mois. Malgré, que ça soit difficile de s’entrainer, bien manger, optimiser sa récupération, d’être régulier et patient, je le fais quand même.

Car j’ai décidé de faire ce choix et d’accepter la souffrance.

À l’inverse, si on me l’ordonnait, ça deviendrait une vraie torture.

De ce fait, faites les bons choix.

Mark Manson : l’art subtil de s’en foutre : La prise de conscience qu’il faut avoir.

Il faut être capable de comprendre que : tout ce qui nous arrive dans notre vie, quelles que soient les circonstances qui nous arrivent dans notre vie, est de notre responsabilité. Certes, on ne contrôle pas toujours tout.

Cependant, on contrôle toujours nos réactions et la façon dont nous allons réagir. En clair, vous devez pratiquer le stoïcisme.

Pour vous, résumer le stoïcisme rapidement,, c’est : vous devez déterminer ce que vous pouvez contrôler et ce que vous ne pouvez pas.

Par exemple. Est-ce que vous pouvez contrôler la météo ? Non. Est-ce que vous pouvez contrôler vos émotions ? Oui. Pouvez-vous contrôler ce que les gens pensent de vous ? Non. Est-ce que vous pouvez contrôler, vos émotions, dans n’importe quelles situations ? Oui.

Ce qu’il faut retenir.

Vous devez toujours vous poser cette question.

Est-ce que je peux contrôler ce qu’il m’arrive ?

Si c’est oui, fait en sorte de réagir de la meilleure des manières.

Si vous ne pouvez pas lâcher prise tout simplement.

Le fait de lâcher prise va vous permettre de vous recentrer sur l’essentiel et d’économiser votre énergie et votre temps.

La vie est parfois injuste.

Je ne vous apprends rien que de temps en temps la vie est injuste. Vous travaillez énormément, pourtant, vous n’êtes payé qu’une misère. Alors, que cet influenceur ne fait rien à part présenter et il gagne beaucoup plus que vous. Vous avez tout fait pour séduire cette fille et mais elle préfère le mec qui s’en fout d’elle. Alors, que vous, vous avez tout donné pour la séduire.

Eh oui ! C’est pénible lorsqu’on constate que ce n’est pas juste.

Malgré ces injustices notables, vous ne devez pas oublier que : nous sommes constamment responsables d’expériences qui ne sont pas notre faute. Ça fait partie de la vie.

Retenez bien que :

La faute se conjugue au passé et la responsabilité, elle se conjugue au présent. La faute découle des choix que vous avez faits. L’habilité des choix que vous êtes en train d’effectuer à chaque instant.

Vous pouvez accuser le monde entier de vos malheurs, vous êtes responsable de vos malheurs.

Comme je l’ai dit précédemment, c’est vous qui choisissez de réagir de cette façon. Et d’attribuer autant d’importances à des choses souvent futiles et dont vous ne pouvez contrôler.

C’est pour ça qu’être capable de faire de l’introspection régulièrement va vous permettre de mieux vous connaitre.

Et donc, d’avoir un meilleur ascendant sur votre vie.

L’art subtil de s’en fouter résumé : Comment réagir aux tragédies ?

Vous allez tous connaitre dans notre existence des tragédies. Nous allons perdre des proches. Vous pouvez être victimes de viol. Nous pouvons être torturés physiquement ou psychologiquement. Etc. Nous n’allons pas tous subir ce genre de « drame », mais, tôt ou tard, ça viendra.

Lorsque nous allons y être confrontés, comment allons-nous réagir ?

Nous allons pleurer, ne rien dire, péter un câble, en vouloir au monde entier, etc..

Tout dépend du malheur et de notre vécu, c’est du cas par cas.

Que faire alors ?

— Dans ces cas, il faut mieux commencer par voir la réalité en face, même si c’est dur. Vous devez vivre l’émotion qui vous domine afin d’évacuer ce que vous avez en vous.

— Dans un second temps, laissez le temps faire son travail. Donc, oui, des fois, ça peut prendre du temps. Mais sachez que notre cerveau s’adapte à ce que vous lui donnez. Si vous vous occupez autrement, vous y penserez de moins en moins.

— Dites-vous. Est-ce que vous pouvez contrôler ce qui vous est arrivé ? Si un proche est décédé, malheureusement vous ne pouvez rien faire. Certes, lorsque ça nous arrive, on a rarement cette approche. Ce que je comprends totalement. Mais si vous êtes capable de faire preuve de discernement, vous pourrez passer rapidement à autre chose.

Malgré ça, il y a certaines souffrances qui ne disparaissent jamais complètement. Votre douleur s’atténuera avec le temps, mais ça restera quand même au plus profond de vous.

Plus vous ferez le travail nécessaire, plus tôt votre chagrin disparaitra. Tout dépend de vous.

Pour conclure.

Je vous ai énuméré les points qui me semblaient les plus importants. C’est absolument possible que j’en aie oublié. Ce résumé n’est pas exhaustif.

Pour vous, résumez ce chapitre :

— Évitez de vous comporter comme une victime, vous êtes responsable de votre vie.

— Vous devez savoir, ou j’ai le contrôle de la situation et/ou je n’ai pas le contrôle.

— La vie est parfois injuste et vous devez vous y faire.

— Nous allons vivre des tragédies diverse et variée. Cependant, c’est de votre responsabilité de réagir comme il se doit.

 

L’art subtil de s’en fouter résumé: Chapitre 6. Tu as faux sur toute la ligne (mais moi aussi)

Je vais commencer par énumérer quelques exemples de l’auteur :

— Il y a 500 ans de ça, les cartographes pensaient que la Californie était une ile.

— Les médecins étaient persuadés que faire saigner pouvait nous faire guérir de n’importe quelle maladie.

— les astronomes étaient persuadés que le soleil tournait autour de la terre.

Dans ses exemples personnels, l’auteur mentionne :

— Que quand j’étais ado, je m’en foutais de tout ! Alors, que c’était faux.

— Que lorsque j’étais avec ma première copine, on resterait ensemble pour toujours !

– Et également, que je n’aimerais que cette fille, car elle est « parfaite ».

Que faut-il en déduire ?

Notre évolution intérieure est un processus qui se répète à l’infini.

Lorsque nous apprenons quelque chose de nouveau, nous ne passons pas du faux au vrai. Mais plutôt du faux au légèrement moins faux. Quand nous apprenons quelque chose de plus, nous sommes en train de nous rapprocher de cette vérité.

Nous nous rapprochons sans cesse de cette réalité sans jamais l’atteindre complètement. Tout simplement, car la perfection, quelques quel soit, n’est qu’une illusion.

Nous pouvons juste émettre des hypothèses et jugements, pour nous rapprocher de leur authenticité.

Je me reconnais vraiment dans les exemples de l’auteur, parce que je l’ai vécu.

Je pensais que ma première copine était parfaite. Que je l’avais perdue, comme j’étais bête !

La vérité, c’est qu’elle n’était pas parfaite, loin de là. Cependant, moi aussi.

Ce qui fait la différence, ça a été ma capacité à me remettre en question, afin de ne pas répéter les erreurs que j’ai pu faire.

Je vous invite à toujours garder votre ouverture d’esprit en éveil. Pour garder cette compétence à se remettre en question, ce que vous pensez connaitre du monde qui vous entoure.

L’art subtil de s’en fouter résumé : La loi de Manson.

La définition de cette loi est :

Lorsque que quelque chose menace de modifier, l’image, l’approbation, que nous ayons de nous-mêmes, que ça soit positif ou négatif, que nous nous estimions ou pas à la hauteur ou pas, plus nous cherchons à contourner ce problème.

Il faut avoir l’aptitude de différencier ce qui est réellement néfaste ou bon pour nous.

En clair, ça nous fait sortir de notre zone de confort . Même si notre vie s’améliore, ça nous fait peur.

La loi de Manson s’applique aux bonnes choses de la vie comme aux mauvaises.

Nous pouvons citer quelques exemples :

— Si vous devenez une star, votre vie va chambouler tout autant celui qui passe de l’anonymat à la célébrité que la perte d’un boulot. C’est pour cette même raison que les gens redoutent autant le succès que l’échec : ça met en péril ce qu’il croit être.

— Tu ne souhaites pas évoquer tes fantasmes sexuels devant ton compagnon parce que ça abimerait ton image de personne parfaite.

— Tu ne veux pas à dire à ton pote que tu ne désires plus le voir, car ça casserait ton image du gars sympa et ouvert d’esprit.

C’est autant d’opportunité que l’on refuse de changer, puisque ça menace notre vision de nous-mêmes.

De plus, c’est périlleux de changer nos valeurs auxquelles on adhère.

Pour résumer.

Nous avons tous des repères que l’on protège et que l’on justifie.

Le problème, c’est qu’on se dirige vers ce que l’on connait déjà, ce que l’on croit sûr. Si vous pensez être une bonne personne, vous éviterez les situations susceptibles de contredire cette opinion.

Si vous pensez être nul en cuisine, vous rechercher toutes les raisons pour vous conforter dans cette hypothèse.

Nous sommes configurés de telle façon que nos certitudes ont toujours raison.

Or, tant que l’on refuse de changer la représentation que l’on a de soi-même, à ce que l’on croit être ou pas, c’est impossible de changer.

Dans la lignée du chapitre précédent, soyez capable de faire preuve d’ouvertures d’esprit et de discernement.

L’art subtil de s’en fouter résumé : Comment avoir moins de certitude sur nous-mêmes ?

Quand nous sommes monsieur ou madame, je sais tout, nous sommes convaincus de tout savoir. Ce qui est totalement faux. Il faut donc accroitre notre capacité à nous remettre en question.

Alors, comment faire ?

Question numéro 1 :

Il faut savoir que : en général, nous sommes les pires juges de nous-mêmes. Quel que soit notre état émotionnel, triste, heureux, jaloux, etc. Nous sommes souvent le dernier à nous en rendre compte. Voici l’importance de fendre l’armure des certitudes en nous demandant systématiquement. « Est-ce que j’ai tort ? »

Les personnes qui ont lu cet article ont aussi lu :  J'ai échoué: la clé de ma réussite

Est-ce que je suis jaloux ? Si oui, pourquoi ?

Est-ce qu’il a raison ? Est-ce que je cherche à protéger mon égo ?

Autant de questions que l’on doit se poser, afin que ça devienne une habitude, un réflexe.

Cependant, il faut faire attention. Ce n’est pas parce que nous nous demandons que nous ayons tort que c’est forcément le cas. Il faut faire preuve de lucidité.

Question numéro 2 :

Qu’est-ce que ça voudrait dire si j’avais tort ?

La majorité est capable de se demander s’ils ont tort ou pas. En revanche, ils sont beaucoup moins nombreux à pousser leurs raisonnements. Car il devrait admettre qu’ils ont tort.

Pourquoi ? Non seulement ça remettrait en question nos valeurs, et ça nous obligerait à voir les différentes options, même si elles sont opposées.

Aristote dit : « C’est la marque d’un esprit cultivé d’être capable de nourrir une pensée sans la cautionner pour autant ».

Si vous êtes capable de considérer et d’évaluer d’autres points de vue, sans les adopter, c’est sans doute la meilleure compétence pour évoluer, soit même, de façon constructive.

Question numéro 3 :

Le fait d’avoir tort créerait-il un problème meilleur ou pire que mon problème actuel, pour moi et pour les autres ? Nous connaissons tous des personnes qui préfère anéantir une relation, plutôt de reconnaitre quelle se sont trompés.

La vérité est que, pour avoir des relations saines et équilibrées, il faut se baser sur la confiance et le respect.

En réalité, la plupart ne le feront pas. Ils préfèreront bousiller leurs relations, pour ne pas reconnaitre leur tort.

Il faut se poser une question fondamentale : à partir du moment où on se demande si c’est moi ou l’autre et que l’on se met à hésiter. Alors, il y a de très fortes chances que nous soyons en tort.

Pour résumer.

Si vous pensez que vous êtes seule face contre le reste du monde. Bon, il a de fortes chances que ça soit vous contre vous-même.

Pour conclure.

Évidemment, je n’ai pas tout dit. Même si je pense avoir énuméré les points les plus pertinents.

Petit récapitulatif :

— Nous devons avoir la capacité de nous remettre en question et faire preuve de discernement.

— Nous devons être capables de changer notre vision des choses et de nos réelles compétences.

— D’avoir la faculté nécessaire, de se poser les bonnes questions.

L’art subtil de s’en fouter résumé : Chapitre 7. Se planter pour bien démarrer.
Introduction.

L’auteur commence à nous raconter ce qu’il a vécu.

À l’obtention de son diplôme, il fait une entrée dans le marché du travail absolument catastrophique. Il louait une chambre, mais étant donné la malhonnêteté de sa locataire, elle partit sans verser le moindre sou. Ce qui l’oblige à enchainer les petits boulots.

L’avantage, c’est qu’il était déjà au fond du trou et ne pouvait que monter.

De plus, il devait compter sa monnaie pour voir s’il pouvait se permettre un Mac do.

En plus, il envoyait des tonnes de CV, sans la moindre réponse.

Et pour finir, monter un blog et en vivre.

La morale :

C’est que malgré tout les malheurs auxquels il était confronté. Il se pose 2 questions :

« Est-ce que je préfère gagner correctement ma vie dans un boulot qui me sort par les yeux ou jouer les entrepreneurs sur internet, quitte à rester dans la dèche un moment » ?

« Si je tente le coup, dans l’éventualité où je me plante d’ici à 2,3 ans, dans le cas où donc je me retrouve contraint et forcé de rechercher un boulot de salarié, est-ce que j’aurai vraiment perdu quelque chose ?

La réponse est non.

Tout simplement, que renoncer à ses projets serait la véritable signification de l’échec. Même si pour ça, il doit faire des sacrifices et que ça allait être dur.

Le paradoxe de l’échec et du succès.

Le progrès passe avant tout par de minuscules échecs à répétitions.

Un exemple qui nous concerne tous, c’est quand nous apprenons à marcher. Nous échouons un nombre incalculable de fois avant de le faire correctement.

Pourtant, nous finissons bien par marcher un jour. Lorsque nous sommes enfants, nous avons cette ignorance de « l’échec ».

Mais le système scolaire est le principal frein à éviter l’échec. Tout est basé sur la performance, et ceux qui ne s’y conforment pas sont sanctionnés. Il y a également les médias qui nous montrent certaines personnes qui ont obtenu leur succès, sans montrer le temps et les échecs qu’il a vécus.

Ce qui va entrainer que, nous allons développer une peur inconsciente. Du coup, nous allons d’instinct éviter les échecs potentiels.

L’analyse.

Nous ne pouvons réellement réussir là où nous sommes prêts à échouer. Si nous refusons l’éventualité que l’échec soit présent, nous n’aurons aucun moyen de réussir quoi que ce soit.

De plus, si l’on base notre critère sur : tout le monde doit m’apprécier. Notre échec sera encore plus grand. Car notre réussite se base sur les autres et non sur nous-mêmes. En plus, vouloir plaire à tout le monde est ridicule.

Première raison : Ce n’est pas possible, malgré toute la bonne volonté du monde.

Deuxième raison : Ça prouve que nous n’avons pas de réelle personnalité.

Alors, faites ce que vous voulez faire, en étant le plus éthique possible.

L’art subtil de s’en fouter résumé: La douleur fait partie du processus.

Que ça soit moi ou l’auteur, nous ne le répèterons jamais assez : la souffrance faite partie du processus. La ressentir compte beaucoup.

Chercher à la masquer, revient à se complaire dans la pensée positive et de se priver de la motivation nécessaire pour toute métamorphose.

Toute épreuve que la vie nous envoie, ou que nous recherchons à un but précis : Devenir meilleur. Il faut donc, découvrir les différents moyens et soulager nos peines !

Selon nos expériences, ça sera plus ou moins simple. Lorsque vous êtes confrontés à une nouvelle douleur, vous devez faire 2 choses :

1 — Trouvez la solution pour aller mieux et ne pas répéter la même erreur.

Car comme l’a dit Albert Einstein : Être fou, c’est faire 2 fois la même chose et s’attendre à un résultat différent. Alors, ne soyez pas fou ;).

2— Vous devez vous rappeler les difficultés auxquelles vous avez face auparavant.

Ça aura pour principal effet de, vous souvenir que toutes difficultés a sa solution. Que ça soit : passer votre permis, être plus à l’aise à l’oral, apprendre à lire, etc..

Bref, toutes ces choses anodines pour vous doivent vous remémorer que vous avez réussi.

Pour conclure.

Je trouve ce résumé très intéressant. Pour la simple raison que ça me permet de ne pas oublier certaines choses fondamentales.

Par exemple : le risque que je prends en faisant un blog ?

Ce genre de rappel fait toujours plaisir.

Petit récapitulatif.

— Lorsqu’on entreprend quelque chose, quel est le réel risque que l’on prend ?

— Que si nous ne prenons pas le risque d’échouer, nous n’aurons aucun succès !

— De suivre votre propre voie.

— D’arrêter de vouloir plaire à tout le monde.

— La douleur fait partie du processus, afin que nous nous améliorions.

L’art subtil de s’en fouter résumé : Chapitre 8. L’importance de dire non.

Accepte qu’on te dise non et tu vivras mieux. Nous sommes beaucoup à penser, à tort, qu’il faut toujours être au maximum dans l’acceptation et dans l’affirmation.

Le sous-entendu de cette croyance est la suivante : ouvre-toi aux opportunités, dit oui à tout et à tout le monde.

Cependant, nous avons besoin de nous opposer pour nous positionner et nous affirmer. Le problème, c’est qu’on nous fait croire qu’il faut éviter le rejet à tout prix. Car c’est la voie royale, pour le « bien être ».

Il ne faut pas oublier que : pour apprécier vraiment quelque chose, quel qu’il soit, nous ne devons pas nous limiter à cette chose.

Le rejet en tant que telle est la clé de notre identité.

Dans la mesure où nous définissons par ce que nous choisissons de rejeter. Ne rien oser, c’est n’être personne.

Le désir d’éviter toute forme de rejet, confrontation, conflit, ne pas plaire, etc.

Il s’agit à chaque fois de s’épargner le mal d’être, et les inévitables ratages de la vie, et d’ignorer sa propre souffrance.

Pour résumer.

Accepter le rejet ou être rejeté, constitue une compétence absolument essentielle.

L’art subtil de s’en fouter résumé: Comment bâtir la confiance ?

Se bâtir une confiance en acier commence par être honnête.

La majorité des mecs n’ose pas dire que leurs copines ont grossi, que telle tenue ne leur va pas, etc. Car ils ont peur de leur réaction et des conséquences qui en découlent. Mais l’auteur ne le fait pas. Pourquoi ?

La sincérité dans sa relation de couple est plus importante pour lui qu’un « tout va bien ».

Si dans un couple la priorité est à entretenir le confort émotionnel, finalement aucun des deux n’est à son aise.

Ce qui va entrainer que leur relation va se désintègre en petit feu.

Le conflit doit être vu comme un révélateur distinguant qui est là pour les avantages et qui est le juste à profiter.

Évidemment, ce concept ne s’arrête pas qu’au couple, c’est de manière générale.

Pour résumer.

Nous devons être capables d’exprimer ouvertement nos différences, notre désapprobation, notre refus et dire non.

Ce qui a pour but d’exprimer pleinement nos pensées, afin d’avoir des relations saines.

S’engager pour être libre.

Notre société nous pousse à vouloir toujours plus. Ça peut être, gagner plus d’argent, coucher avec plus de filles, visiter plus de pays, etc. Le message est : plus, c’est toujours mieux.

Alors, que c’est faux. C’est même l’inverse.

Lorsque nous sommes submergés d’opportunité en tout genre, on souffre du « paradoxe du choix ».

En clair, plus nous avons de choix et moins on est satisfait de notre choix, car nous allons garder en tête les multiples choix qui s’offrent à nous. L’anxiété que cela te provoque te rend malheureux.

Alors, que faire : c’est d’éviter de choisir.

Donc, bien sûr, il faut un peu nuancer.

C’est d’accorder de l’importance du « choix » à ce qui compte vraiment.

Est-ce que gagner plus d’argent est réellement important pour moi ?

Je dois déménager ou donc rester où je suis ?

Est-ce que cette femme me correspond ?

L’idée, c’est de ne pas perdre de temps et d’énergie pour des futilités.

Vous devez prendre le temps de choisir lorsque c’est réellement important pour vous.

conclusion

L’art subtil de s’en fouter résumé: Pour conclure.

Je n’ai bien entendu pas tout dit. Je me concentre réellement sur l’essentiel.

Petit récapitulatif.

— Vous devez être capable d’accepter n’importe quelle forme de rejet.

— Être capable de dire pleinement ce que nous pensons exactement. En restant polis et courtois.

— Ne faire des choix que si c’est complètement vital pour nous.

PS. Il y a normalement un dernier chapitre qui se nomme « et puis tu meurs ». J’ai décidé de ne pas le faire, car il n’y a pas grands intérêts à en parler.

 

Mon blog : https://lactionsuittespensees.fr/

 

Voici le livre L’art subtil de s’en foutre . Sachez que je touche une petite commission 🙂

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *