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Vivre c’est souffrir
Vivre c’est souffrir

Vivre c’est souffrir

Bonjour à tous, aujourd’hui, je vais vous parler de « Vivre c’est souffrir ».

Vivre c'est souffrir

Qui est l’auteur de : vivre c’est souffrir ?

Le début de cette citation nous vient de Friedrich Nietzche. C’était un grand philosophe allemand du 19e siècle.

La citation complète : Vivre c’est souffrir. Survivre c’est trouver du sens à cette souffrance. L’homme a besoin de ce qu’il y a de pire en lui s’il veut parvenir à ce qu’il a de meilleur.

J’ai trouvé cette vision de la vie assez pertinente.

Dans la suite de cet article, je vais vous expliquer ma vision des choses, par rapport à ce courant de pensée.

 

Pourquoi vivre c’est souffrir ?

Déjà, car la vie sur terre est synonyme de souffrance. Quelles soit physique ou psychologique !

Donc, il vaut mieux se préparer à l’affronter et l’accepter.

Puisque si vous ne le faites pas, vous allez encore plus souffrir que si vous étiez préparé.

Oui, ne pas être prêt est encore plus douloureux que d’être prêt. D’où l’importance d’en être conscient et d’accepter cette souffrance.

Alors, bien entendu, il faut nuancer un peu.

Si vous avez un cancer, vous aurez beau en être conscient, ça ne changera pas votre situation.

En revanche, être conscient de son existence, vous aide à être ancré dans cette réalité.

De ce fait, vous allez mieux prendre soin de vous.

 

Le rôle de la souffrance ?

La souffrance a 3 principales fonctions.

— Elle a un rôle biologique.

C’est-à-dire : qu’elle veut qu’on survive ! Notre corps est avant tout conçu pour la survie.

Donc, notre corps doit nous aider à le faire.

De ce fait, nous avons développé des mécanismes de survie et des choix des souffrances.
Par exemple.
Il vaut mieux se casser un bras, plutôt que la tête. Vous êtes d’accord ?
Vous n’avez qu’à essayer de vous laisser tomber par terre.
Que se passe-t-il ? Vous allez mettre vos mains pour amortir la chute.
Puisque votre cerveau, c’est que se faire mal à la tête, ce n’est pas la même chose qu’avec vos bras.
Ainsi, votre cerveau veut vous éviter de souffrir, pour assurer votre survie.

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Néanmoins, quand vous y serez confronté, il va choisir de sacrifier ce qui est le moins vital.
Parce que environ 95 % de nos comportements sociaux sont inconscients.

 

– De s’habituer à son environnement.

Maintenant, vous savez que notre corps choisit « une partie » de ses souffrances.

Ce qui va entrainer la suite : s’acclimater à son environnement.

Un bon exemple, c’est la musculation.

Pourquoi votre corps va développer sa masse musculaire et devenir plus fort au fil du temps ? Car votre corps veut que vous surviviez.

De ce fait, il va s’habituer à l’environnement auquel il est confronté.

Puisque vous avez choisi cette souffrance.

En clair, quels que soient les choix que vous faites, ou que vous ne faites pas, vous allez souffrir.

En l’occurrence, pour la musculation, vous souffrez des efforts à fournir, mais votre corps est en meilleure santé. En revanche, si vous ne faites aucune activité physique, vous ne souffrez pas de l’effort, mais du manque de sport.

De ce fait, vous êtes en moins bonne santé.

Donc, choisissez les souffrances que vous souhaitez, et non pas les subir.

 

– Elle nous permet d’être plus fort et d’évoluer.

Il faut bien comprendre que : c’est à travers les souffrances et les difficultés de la vie que l’on devient plus fort. Ce n’est pas en étant feignant que l’on évolue de façon positive.
D’ailleurs, Nietzsche est célèbre pour cette citation : ce qui ne te tue pas te rend plus fort.

Et c’est logique.
Quand vous êtes confronté à une souffrance, vous ne souhaitez plus souffrir. Nous sommes d’accord.
Donc, vous allez essayer de comprendre ce qui la provoque. Et c’est en apprenant de cette souffrance que vous allez devenir plus fort. Puisque vous ne souhaitez plus souffrir.

En conséquence, quand vous y serez à nouveau confronté, ça va moins vous faire du mal, puisque ce n’est pas nouveau pour vous.

Alors, la souffrance nous aide à être plus fort, et elle permet d’évoluer de manière positive dans notre vie. Si l’on en tire les enseignements.

conclusion

Pour conclure sur : vivre c’est souffrir.

J’ai vraiment résumé les bases de la pensée de Nietzche
Cependant, c’est largement suffisant pour comprendre sa pensée et sa vision de la souffrance.

Personnellement, je suis entièrement d’accord avec sa vision.

Quand on prend le temps d’y réfléchir, la vie sur terre est synonyme de souffrance en tout genre.

Néanmoins, on peut les choisir. Certes pas toutes, mais une bonne partie.
De plus, chacun peut choisir « comment il réagit à cette souffrance ». Pleurer, se laisser abattre, tirer les enseignements, etc…

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Bref, notre appréhension de la souffrance va dépendre en grande partie de nous.

Le but, ce n’est pas de tout le temps bien accepter la souffrance.

Parfois, c’est très pénible et très douloureux. Ce qui se comprend.

Toutefois, dans tous les cas, il faut apprendre de nos erreurs et choisir les souffrances qui sont nécessaires.

Si vous souhaitez compléter cet article, n’hésitez pas 😉

Mon blog : https://lactionsuittespensees.fr/

2 commentaires

  1. 👍 et je rajouterai que les moments difficiles de la vie sont des cadeaux emballés dans un papier de verre… Ca fait mal à ouvrir et finalement on se rend compte que ce sont des cadeaux car ils nous permettent de mieux nous connaître…. Connais toi toi même disait Socrate …

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